Une traînée macroniste veut que l’État instaure la virginité rétroactive pour les actrices pornos

La rédaction
Démocratie Participative
25 septembre 2023

 

Ce que les femmes veulent, elles entendent l’obtenir.

Une de leurs dernières exigences est aussi la plus directe : être des putes jusqu’à 30 ans et effacer leur historique grâce à la coercition étatique.

BFMTV :

Dans une tribune parue dans le Journal du dimanche, la ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes s’attaque aux violences dans l’industrie pornographique. Elle prêche pour des changements de mentalité et des barrières légales.

« Nous devons combattre les violences sur les tournages et en ligne ». Dans une tribune signée dans le Journal du dimanche, Bérangère Couillard s’attaque aux violences dans la pornographie.

Bérangère Couillard est une femme forte et indépendante 

Alors que l’industrie a été entachée par des affaires comme celle du « French Bukkake », la ministre déléguée à l’égalité femme-homme veut remédier aux « faiblesses dans l’application des lois actuelles ». Elle propose par ailleurs de créer un nouvel outil, un « droit à l’oubli rétroactif » qui permettrait d’enlever les contenus « pour celles qui le souhaitent », un droit « ouvert à tous ».

La pornographie est adjacente à la prostitution et la prostitution est la forme dérégulée de l’hypergamie : une femme monnaye son corps à un homme contre un gain financier qui lui assure une certaine situation sociale.

La pornographie est très atténuée comparativement. Une prostituée peut avoir dix ou quinze clients par jour, une actrice quelques centaines au cours de sa carrière.

Historiquement, la prostituée heurte la psychée humaine car elle n’a pas de propriétaire, uniquement des usagers. À Rome, les prostituées étaient ségréguées.

Le mariage n’est pas différent dans sa nature contractuelle, il diffère seulement dans sa forme et dans ses modalités, à un détail prêt : contrairement à la prostitution, le mariage doit déboucher sur la reproduction.

Quand les femmes approchent de la trentaine, elles entrent dans une phase d’introspection lié au déclin de leur valeur sur le marché sexuel. Elles se demandent si elles ont obtenu le mâle alpha que leur potentiel de séduction leur permettait d’espérer. Après 30 ans, les femmes ont besoin d’un avantage comparatif par rapport aux femmes plus jeunes qui les évincent de l’offre par leurs atouts sexuels.  C’est à ce moment-là qu’elles révisent complètement leur personnage pour devenir des femmes « sérieuses » qui feignent avoir les qualités morales qu’attendent les hommes en général d’une mère potentielle pour leur progéniture.

Typiquement, les trentenaires célibataires sont celles qui accusent le plus les hommes de ne pas être « au niveau », inversant la charge des responsabilités rétroactivement.

Pour ces femmes pressées par l’holorge biologique, il s’agit de rationaliser cette transition. C’est la rédemption dont chaque Marie-Madeleine attend l’effacement complet de son ardoise.

Les théoriciens chrétiens ont bien compris cette dynamique et proposé aux nombreuses putes marginalisées de la société antique un mâle alpha archétypal capable d’effacer leur bodycount : le Christ.

Le stigmate est encore plus prégnant dans la pornographie où tout est public. Les actrices pornographiques sont peu nombreuses et ce n’est pas en soit un problème qui nécessite une loi. Mais dans une société féministe où tout est rapport de force entre hommes et femmes, c’est un thermomètre qui permet aux femmes d’évaluer ce qu’il est possible d’extorquer aux hommes passé 30 ans.

Plutôt que de remettre en cause leurs choix, les femmes exigent de l’État un droit à la virginité rétroactive.

Dans l’univers mental des femmes, les hommes n’ont pas à « poser de questions » à propos de leur passé. De toute façon, elles ne veulent pas y répondre pour ne pas se dévaluer sur le marché sexuel. Pour s’assurer que les hommes n’en posent pas, le mieux est encore qu’aucune réponse ne soit documentée.

Évidemment, l’internet ne peut pas être expurgé de ce genre de vidéos, ce qui le rend incompatible avec l’impératif féministe de cette société. Il devrait être transformé en profondeur, en intranet, pour que ce contrôle soit exercé. Mais l’impulsion est là.

Du début jusqu’à la fin, une société féministe doit répondre aux impératifs de l’hypergamie féminine.

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