TRACTAGE : précisions utiles

La rédaction
Démocratie Participative
14 septembre 2023

 

Suite à l’affaire étrange de Gurs, ou prétendue telle, nous devons procéder à une mise au point.

Actuellement, la situation est confuse, les informations parcellaires et l’histoire dans son ensemble incohérente. Ou plutôt les deux histoires.

La première à propos d’un « projet » de dégradation d’un site antifasciste géré par les communistes espagnols locaux qui abrite un cimetière juif. Ce site est apparemment utilisé en permanence pour des séances d’embrigadement par le régime (regardez sur Google Actualités).

La seconde à propos d’une distribution de « 5 ou 6 tracts » dans le village où se trouve ce site alors qu’il était ostensiblement sous quadrillage de la gendarmerie depuis la semaine dernière.

Nous ignorons l’identité des trois personnes interpellées ou si elles sont même accusées formellement d’avoir tracté. La surveillance concernait à l’origine le site, pas un quelconque tractage.

Nos consignes ne permettent pas à un tel développement de se produire.

  • Premièrement, parce que nous répétons sans cesse qu’aucun acte violent, contre les biens ou les personnes, ne doit jamais être commis.
  • Deuxièmement, parce que nous limitons le nombre de membres d’une cellule de propagande autonome à deux personnes. Nous recommandons d’ailleurs de privilégier les actions solitaires, de type werwolf.
  • Troisièmement, parce que les « fuites » ne peuvent pas se matérialiser car nous demandons aux volontaires de ne jamais parler de leurs actions à des tiers, ni entre eux sur internet, sous aucun prétexte.
  • Quatrièmement, parce que nous rappelons qu’il ne faut conserver aucun tract chez soi, ce qui, sauf flagrant délit, rend toute accusation matériellement invérifiable, le tractage se faisant ganté et masqué.

Il faut être clair : si le risque zéro n’existe pas, le respect strict des consignes rend très difficile l’arrestation d’activistes et permet donc à la campagne de propagande de se poursuivre. Ce qui est l’objectif.

Il faut également rappeler une chose : il faut prendre des risques calculés. Les révolutionnaires veulent des changements radicaux. L’idée que l’on puisse obtenir ces changements sans affronter la répression du régime est illusoire. Nous recommandons la lecture de Combats pour Berlin à tout activiste pour le comprendre.

Un activiste évalue sa prise de risque en toute conscience et c’est sur cette base que nous appelons les volontaires à participer à cette campagne. Ni peur, ni témérité, seulement du courage et de la rigueur.

Les tractages sont une arme extrêmement puissante contre le régime, aussi surprenant que cela paraisse de prime abord. Ils ont placé les juifs, leurs médias et leur gouvernement dans un état de grande nervosité. Vous avez pu amplement le constater ces derniers mois. Ils ont une réelle valeur politique et psychologique.

Contrairement à la lecture monotone des derniers faits divers dans laquelle la grande majorité se complait, ils permettent aux résistants blancs de reprendre l’initiative. Une campagne politique efficace est par nature une campagne politique qui vise le juif et le place sur la défensive. Toute campagne ciblant l’ennemi des peuples entraînera de violentes secousses jusqu’au sommet de son système dont la stabilité est très précaire. Le juif tentera de se défendre, mobilisant pour cela l’État, mais par là même exposera sa tyrannie à un nombre toujours plus grand de gens.

L’appareil policier et judiciaire n’est que la botte juive sur la gorge de l’homme blanc. Sa fonction de compenser la précarité fondamentale du système en terrorisant toute opposition. Ces flics qui font du zèle contre la résistance blanche sont certainement la pire engeance qui existe en France avec les juges, bien pire que les juifs qui ont au moins pour eux de servir les intérêts de leur race, aussi démoniaque soit-elle. Sans ces cerbères, ces juifs seraient incapables de nous imposer un demi million d’envahisseur afro-musulmans par an.

Cette affaire est aussi un test de volonté. Les Blancs qui ne veulent pas périr noyer sous les flots de l’invasion dictée par le régime juif doivent savoir vouloir. Toutes choses étant égales par ailleurs, tracter est certainement moins périlleux que de sortir d’une tranchée en 1916 pour un soldat français. Si nous restons les yeux rivés sur nos chaussures, nous ne ferons rien et nous finirons comme des indiens en réserve, voire probablement pire.

Le régime essaie d’intimider la résistance, c’est l’évidence et c’est prévisible. Peu importe, la résistance doit impérativement se poursuivre et le juif incessamment désigné aux masses comme l’empoisonneur des nations qu’il est. Les coups de marteau contre sa citadelle de mensonges finiront par sauter le ciment qui fait tenir l’ensemble debout.

Avec discipline et l’esprit au clair, tractez !