Le réalisateur du film ultra-immigrationniste « Entre les murs » meurt dévoré par un cancer salvateur

La rédaction
Démocratie Participative
27 avril 2024

 

C’est la belle nouvelle de la semaine.

On lui doit le chef d’oeuvre « Entre les murs » qui a fait connaître la bouche perfide Bégaudeau, sale prof de gauche entièrement acquis à la mission civilisatrice de l’État fronssais dans les banlieues.

C’est un concentré d’optimisme antiraciste sur fond de misérabilisme post-chrétien. N’importe quel homme blanc en bonne santé est pris d’une violente nausée à la vue d’une seule minute de cette merde.

Ce truc avait obtenu une « Palme d’Or » au festival antifa de Cannes, sur décision du juif Sean Penn qui s’est reconverti dans le soutien à la guerre totale à la Russie.

Désormais, c’est pour donner des oscars, mais c’est la même idée.

À l’époque, il y a 15 ans, les médias en avaient fait des tonnes pour exalter ce navet qui donnait la ligne officielle du régime sur le miracle de l’immigration non-blanche.

Bégaudeau, petit curé prétentieux jouant les affranchis, était à son zénith.

Aujourd’hui, avec les têtes de profs qui tombent pour un mot de travers sur le prophète de l’islam, le climat a passablement changé, même si, bien sûr, la gauche la plus religieuse continue de broder sur le même thème.

Cantet est mort dévoré par un cancer, juste prix à payer pour avoir rendu le monde un petit peu plus laid.

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