Le rap est de la musique de nègres et rien que ça

La rédaction
Démocratie Participative
14 mars 2024

 

Le rap, une belle et tradition bardique des confins de l’Écosse.

Le niveau catastrophique de déni.

Le rap apparaît dans les années 1970. C’est le résultat immédiat de la révolution raciale des années 1960 encadrée par les agitateurs juifs du mouvement « des droits civiques » relayé par le Parti Démocrate et Lyndon Johnson. Les familles noires, jadis organisées par la morale protestante, implosent sous l’effet du laxisme des autorités, du féminisme et la libération sexuelle.

Par l’action de la subversion juive, la société américaine, encore blanche à 90%, cesse d’imposer un cadre social contraignant aux noirs. La CIA, qui est encore dominée par des Blancs anticommunistes, adoptent des contremesures et se met à inonder les quartiers noirs d’héroïne. Les gangs noirs apparaissent à grande échelle pour le contrôle du marché de la dope.

C’est le terreau sociétal et racial du rap qui n’est que le retour instantané du nègre à sa nature profonde. Les codes musicaux, généralement repris des Blancs, s’évaporent instantanément. La maîtrise des instruments européens qui existaient encore dans le jazz ou le blues disparaît. Comme en Afrique, la parole selon le schéma d’appel/réponse et le rythme supplantent tout.

Le pré-rap apparaît en 1968 avec The Last Poets.

Coke la Rock devient le premier Master of Ceremonies, celui qui contrôle l’évènement scénique au micro.

DJ Herc apporte le mixage aux platines en 1973.

La forme est mûre dès la fin des années 1970.

Depuis, le rap n’a cessé de coloniser les cerveaux sous l’effet d’un puissant soutien de l’industrie judéo-américaine du disque.

Négrification culturelle et négrification démographique vont de paire avec l’enjuivement des démocraties. En France, en moins de 40 ans, grâce au bouleversement migratoire que l’on sait, le rap a intégralement colonisé l’espace musical.

C’est une catastrophe inédite dans le domaine des arts en Europe.

Elle affecte l’âme aryenne en faisant régresser sa nature portée sur l’harmonique.

120 ans séparent ces deux vidéos :

Le rap, ce bruit négroïde infernal, véritable infection mentale, est l’antichambre qui mène directement à l’involution anthropologique.

Un bond littéral de dizaines de milliers d’années en arrière.

Écouter du rap, c’est comme boire de l’urine de nègre plutôt que de la Volvic. Ça agit très négativement sur l’organisme.

L’essence du combat politique est la renaissance spirituelle aryenne qui passe par la libération de l’infection négroïde que les juifs ont systématiquement mis en oeuvre depuis qu’ils ont pris le contrôle des médias de masse.

Donc, rappelons l’évidence :

Rap = négritude mentale

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