« Lâchez nos ovaires, ouvrez les frontières » : les femmes blanches valident la théorie nazie du fémo-remplacisme

La rédaction
Démocratie Participative
19 janvier 2024

 

Réarmement démographique : Macron glace le sang des femmes blanches

J’en parlais longuement hier, mais cette version est très bien aussi.
Elle résume ma thèse, qui est une thèse nationale-socialiste, à cette exception qu’elle est formulée directement par l’extrême-gauche vaginale.
C’est un très long développement pour dire d’une bourgeoise blanche pour dire qu’elle fait passer ce qui rentre dans sa chatte avant ce qui en sort et que le futur des autres l’indiffère absolument.
Bref, c’est une thèse de pute.

Depuis quelque temps une petite musique nataliste m’échauffait les oreilles. Ici Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national – et… vice-président de l’Assemblée – qui préférait « qu’on fabrique des travailleurs français plutôt qu’on les importe » ; là Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, espérait au micro d’Europe 1 (Bolloré) « qu’on fasse plus d’enfants en France » (les deux le 19 février 2023). CNews y consacrait des émissions, avec ces bandeaux si caractéristiques de leur ligne éditoriale (« Naissances : le suicide de l’Europe », « Natalité en berne : la faute à mai 68 »). Ça montait doucement, mais sûrement, comme « le Boléro » de Ravel. Et là ! Boum ! La grosse caisse. Emmanuel Macron qui parle de « réarmement démographique ». Devant l’écran, je m’étrangle.

Réarmer démographiquement… contre quoi déjà ? La France qui n’est pas en guerre n’a pas besoin de « chair à canon ». De « chair à patron » alors peut-être ? Il suffirait d’ouvrir les frontières. Notre pays a, tout au long du XIXe et plus encore du XXe siècle, su compenser la faiblesse de son solde naturel par la vitalité du solde migratoire et trouver les bras nécessaires pour construire et ses voitures, et les autoroutes sur lesquelles elles roulent, comme pour cueillir ses fruits et son raisin.

Je connais cette théorie.

C’est de la daube de gauche.

Oui mais le président ne veut pas de ce réarmement démographique qui passe par l’accueil – digne ! – des travailleurs et travailleuses étrangers, l’indigne loi Darmanin en administre la preuve.

Macron, ce fasciste qui tient hermétiquement les frontières avec près 500,000 immigrés par an supplémentaires.

On en peut plus.

Sans que ce soit clairement formulé, on comprend qu’il s’agit d’encourager les naissances d’enfants nés en France, de parents français – la loi immigration supprimant le droit du sol. Un réarmement contre le « grand remplacement » que le président évite bien de citer, ce qui ne l’empêche pas de reprendre une formule de Zemmour et Ciotti « Pour que la France reste la France ». Quant au « plan pour la fertilité »… Est-ce à dire que l’on va lutter contre ses causes environnementales, bien documentées (perturbateurs endocriniens, glyphosate, pollution), ou que l’on va renflouer l’hôpital public (combien de temps, à votre avis, pour obtenir une consultation fertilité en France, vu le manque de praticiens ?). J’ai de gros doutes.

D’aucuns y voient à raison une tendance fascisante, et de citer la Hongrie d’Orban, l’Italie de Meloni qui tiennent le même type de discours et le traduisent en politiques natalistes – sans grands résultats soit dit en passant.

Orban a des résultats, car c’est un homme.

Meloni aucun, car c’est une femme.

Mais l’historienne que je suis sais qu’au-delà des comparaisons contemporaines avec des régimes d’extrême droite, voire du temps court des précédents du régime de Vichy ou des fascismes des années 1930-1940, ce qui se joue s’inscrit dans une temporalité bien plus longue du contrôle sur les ventres des femmes. Faites des mômes, ou n’en faites surtout pas, faites en tout cas ce que l’on vous dit ! Deux siècles d’injonctions et de politiques qui mêlent encouragement et répression.

La mobilisation féministe a mis le holà : contraception et IVG ont été autorisées. A partir des années 1970 s’était imposée une politique du « double non », non-ingérence et non-indifférence envers les choix des familles, veillant à promouvoir une politique soucieuse des éventuelles conséquences du natalisme sur l’élaboration de rapports sociaux de sexe égalitaires (politique de logement, crèche, égalité salariale…). En cela, le « réarmement démographique » de Macron est une rupture, une main tendue aux surenchères nationalistes et natalistes de l’extrême droite. Et c’est extrêmement préoccupant.

En 1920, face aux premières mesures natalistes, la féministe Nelly Roussel répondait : « Faisons la grève, camarades ! La grève des ventres. Plus d’enfants pour le capitalisme, qui en fait de la chair à travail que l’on exploite, ou de la chair à plaisir que l’on souille. » En 1972, le Mouvement pour la Liberté de l’Avortement et la Contraception avait comme slogan « Un enfant/Si je veux/Quand je veux ». La nuit du 6 mars 2023, les colleureuses qui accompagnaient la manifestation féministe radicale laissaient ce collage sur les murs « mort aux politiques natalistes ». Je rajouterai « lâchez nos ovaires, ouvrez les frontières ».

Sous-traiter son existence au tiers-monde n’est évidemment pas de nature à répondre à l’instinct de survie d’une grande partie de la population blanche. Ça ne répond qu’aux besoins de traînées sururbaines qui ont, hélas, fait des études.

La bonne nouvelle, c’est que ces comportements morbides sortent de fait les pommes pourries de l’histoire génétique et par contrecoup renforcent la race blanche, même si elle se rétracte quantitativement. Ce qui est perdu en volume est gagné en qualité et c’est le terreau pour une nouvelle phase d’expansion.

Les femmes ne devraient jamais étudier. Les détourner de la maternité ne sert qu’à les pousser à détruire la société. Elles ne devraient pas non plus travailler, et certainement pas au rythme actuel.

Au moins cette garce Larrère parle franchement, sans filtre.

Cette femme blanche admet qu’une société construite autour de ce qui rentre dans sa chatte suppose l’invasion du tiers-monde et la destruction de toute civilisation européenne.

Accessoirement aussi, les viols à grande échelle.

Cet aveu est un pas dans la bonne direction. Que l’on soit pour ou contre, c’est un fait objectif : le féminisme suppose la destruction de la société, le triomphe de la sauvagerie allogène et, en effet, la fin de l’histoire.

Cette évidence, dénoncée encore il y a peu comme une théorie fasciste, est à présent revendiquée par les trous biologiques frontaux.

Tant mieux.

Le féminisme a toujours été le fait de garces hostiles à l’homme blanc manipulées médiatiquement par les juifs. Qu’elles assument contribue à la prise de conscience.

L’étape suivante est d’établir une impitoyable patriarchie où les hommes auront le droit de vie ou de mort sur les femmes de leur foyer, comme à Rome.

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