Corée-du-Sud : le président veut un ministère des naissances pour sauver le pays du cataclysme féministe

La rédaction
Démocratie Participative
09 mai 2024

La Corée-du-Sud est une effrayante tyrannie vaginale qui est guidée par un seul but : détruire les hommes et la société

Il est notoire que la Corée-du-Sud n’intéresse que les femmes blanches obèses qui écoutent de la Kpop et, dans une moindre mesure, leurs homologues de couleur marron encore plus obèses qui écoutent aussi de la Kpop.

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si ce pays est internationalement reconnu comme une société aussi dégénérée que condamnée.

Pour en sortir, les hommes sud-coréens se demandent bien comment résoudre la quadrature du cercle que constitue le maintien du droit des femmes de se comporter en traînées tout en empêchant le pays de disparaître purement et simplement.

Un vrai défi !

Le Figaro :

Malgré les milliards d’euros dépensés par le gouvernement pour encourager les naissances, le nombre de nouveau-nés en Corée du Sud a atteint en 2023 son plus bas niveau depuis les premières statistiques sur le sujet en 1970.

Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a déclaré jeudi 9 mai souhaiter un ministère pour lutter contre le faible taux de natalité du pays asiatique, le plus faible du monde, menacé par une crise démographique. «Je demande la coopération du Parlement pour revoir l’organisation du gouvernement afin de créer un ministère de la Planification contre le faible taux de natalité», a déclaré Yoon dans une allocution. «Nous sommes quasiment dans une situation d’urgence nationale», a insisté le président.

Pas « quasiment », absolument, totalement, résolument.

Ils en sont à 0,72 enfant par femme et finiront tôt ou tard à zéro.

C’est le résultat d’un complot vaginal contre la civilisation.

Pour maintenir la population à son niveau actuel (51 millions d’individus), il faudrait que les femmes donnent naissance à 2,1 enfants en moyenne durant leur vie. Mais en 2023, le taux de fécondité a continué de chuter, atteignant 0,72. A ce rythme, la population sud-coréenne va quasiment se réduire de moitié pour atteindre 26,8 millions d’habitants en 2100, selon l’Institut pour les mesures et l’évaluation de santé à l’université de Washington à Seattle (Etats-Unis).

À 0,7 enfant, ce sera 2100, mais à 0,1, ce sera 2060. Et la moitié restante de la population sera composée de vieillards.

L’origine du problème est connue : les poufiasses en plastique sont déterminées à détruire leur pays.

Face au péril vaginocratique, les politiciens sud-coréens ne peuvent rien faire.

Ils administrent une démocratie judéo-féministe placée sous la botte américaine, ce qui rend impossible la remise en cause du dogme féministe et son triptyque opérationnel : promiscuité sexuelle, avortement, réseaux sociaux.

Ils tournent en rond sur un bateau qui coule.

Séoul a dépensé des milliards d’euros pour tenter d’encourager les naissances, à travers des versements d’allocations, des services de garde d’enfant et une aide pour les traitements de l’infertilité. Selon les experts, le faible nombre de naissances découle notamment des prix de l’immobilier et des coûts élevés liés au fait d’élever des enfants, dans une société compétitive rendant par ailleurs difficile l’obtention d’emplois bien rémunérés. La double journée de travail des femmes, qui, une fois rentrées du travail, assument souvent la responsabilités des tâches ménagères et de l’éducation des enfants, constitue aussi un facteur clé, expliquent-ils.

Il n’y aurait pas de double journée si les femmes n’avaient pas été salariées en masse par le système capitaliste pour gonfler ses profits.

Une fois au travail, les femmes deviennent des garces égoïstes qui gardent leur argent pour acheter des conneries et s’éclater jusqu’à 38 ans. Et, en Corée du Sud, se payer de la chirurgie plastique pour pouvoir extorquer de l’argent à des simps sur les réseaux sociaux et se payer encore plus de conneries.

Sur ce, les sangsues que sont les vieillards, toujours plus nombreux, vivent de leurs rentes immobilières tandis que les grands groupes capitalistes exploitent à outrance le salariat qui s’y loge.

Ce système n’est objectivement pas réformable. Sans une révolution anticapitaliste pour remettre les hommes au pouvoir et les femmes à la maison, l’extinction de l’espèce aura lieu.

Les hommes de Corée-du-Sud ont au moins le mérite de réaliser le problème et de chercher des solutions, même si elles sont inutiles en l’état.

Notre situation est infiniment pire. Les démocraties féministes occidentales, directement contrôlées par les juifs, ont depuis longtemps opté pour le remplacement pur et simple du bétail blanc par l’immigration de masse afro-orientale.

Nous avons le dépeuplement indigène et le repeuplement allogène, ce que ne connaît pas encore à ce stade la Corée-du-Sud.

Tout dépend donc des hommes et du sérieux qu’ils mettent dans l’effort nécessaire au salut de leurs pays. Soit ils ramènent les femmes à la maison pour faire des gosses après avoir décrété que le PIB était un sujet secondaire, soit leurs pays deviendront des déserts, tôt ou tard repeuplés de races de boue prolifiques venues d’Inde, d’Afrique et d’ailleurs.

Pour le moment, en Europe, les hommes blancs refusent catégoriquement l’idée de sauver leurs pays et maintiennent que la disparition est infiniment préférable à l’abolition du droit des femmes blanches à faire ce qu’elles veulent, c’est-à-dire n’importe quoi.

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