Belgique : écoles incendiées et manifestations après les appels islamiques à écraser le programme LGBT imposé aux enfants par les femmes blanches

La rédaction
Démocratie Participative
18 septembre 2023

The Caliphate has entered the chat

Ce qui est vraiment choquant dans ce développement en Belgique, c’est que personne n’aurait pu se douter que les choses se passeraient ainsi.

Le Monde :

Huit écoles ont été incendiées ou vandalisées en Wallonie au cours des derniers jours et, dans six cas au moins, un lien évident a été établi avec une campagne lancée par des milieux religieux radicaux, musulmans et catholiques, et des courants extrémistes et complotistes contre un cours d’éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle (Evras), porté par la ministre francophone de l’éducation, Caroline Désir (PS). « Ces incendies sont des actes terroristes inadmissibles », a-t-elle commenté lors d’une visite, vendredi 15 septembre, dans l’un des établissements incendiés, près de Charleroi.

Une femme blanche est très en colère contre ceux qui s’opposent à la mise en place d’une politique d’abus sexuels systématiques sur les enfants par des homosexuels.

Étrangement, elle est de gauche.

Cela n’a pas empêché quelque 1 500 personnes de se rassembler dans le centre de Bruxelles, dimanche, avec un mot d’ordre : « Touchez pas à nos enfants ! » Dans une ambiance tendue, Radya Oulebsir, une militante musulmane, organisatrice autoproclamée de la protestation, et Alain Escada, un dirigeant de l’association catholique traditionaliste Civitas, ont exigé l’abandon du cours. Sur plusieurs des établissements vandalisés, des slogans hostiles comme « No Evras, sinon les prochains, c’est vous » avaient été tagués par les incendiaires.

Vendredi, le Centre national de crise a fait savoir que les services de l’antiterrorisme et du renseignement suivaient de près les événements. La police fédérale devrait, elle, venir à la rescousse des polices locales dans les zones concernées, Charleroi et Liège. Des contacts ont aussi été établis avec des services étrangers depuis que la campagne hostile a débordé les frontières. En France, le rappeur Rohff a relayé une pétition anti-Evras au nom de la lutte contre « la pédophilie et la perversion ». « Hallucinant », juge l’entourage de Caroline Désir.

Les rappeurs noirs font le travail que hommes blancs ne veulent plus faire.

Ce boloss bisexuel de Raphaël Arnault, qui d’ordinaire joue les durs, fait le mielleux avec l’homme noir sûr de lui et dominateur qu’est l’homophobe Rohff.

Si Arnault continue de promouvoir la pédophilie d’état dans les banlieues afro-maghrébines, il s’aventure sur un terrain très dangereux.

Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, le premier ministre, Alexander De Croo, s’est dit, jeudi, « profondément choqué » et a souligné que l’accès à l’éducation sexuelle ne pouvait être remis en cause par quiconque. Le projet Evras, officiellement entériné le 7 septembre par un vote du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, a suscité une intense campagne de désinformation sur les réseaux sociaux. Il ne fait pourtant que prolonger un cours donné depuis 2012, mais dont l’organisation était laissée, jusqu’ici, à la discrétion des directions d’établissement. Désormais, il sera obligatoire pour tous les élèves de 12 et 16 ans. Et il durera quatre heures au total.

C’est comme la théorie du genre à l’école.

Elle n’existe pas.

Jusqu’à ce qu’elle existe.

Jusqu’à ce qu’elle soit mise en place, c’est une « théorie complotiste ».

Quelques centaines de personnes avaient déjà manifesté devant le siège de l’Assemblée, le jour du vote. Se référant à ce qu’elles avaient lu ou entendu, certaines parlaient d’« un guide satanique utile aux pédophiles » et réclamaient « de l’éducation, pas de la sexualité ».

Les thèmes d’une prétendue sexualisation précoce des enfants, d’une incitation à la pornographie et au changement de genre, de la masturbation et de l’orgasme qui seraient enseignés « dès l’âge de 9 ans » ont alimenté la campagne de dénigrement. Des parents se disant inquiets de ce projet se sont désolidarisés des actes violents, mais des courants extrémistes et complotistes, hostiles entre autres aux personnes LGBT, ont amplifié la protestation.

Le « genre » n’existe pas. Le sexe existe et on ne peut pas en changer.

Et tout le monde hait les fiottes, parce qu’elles sont hostiles aux enfants.

Parmi ceux qui dénoncent le nouveau cours, on retrouve également des activistes antivaccins qui s’étaient manifestés durant la pandémie de Covid-19, des adeptes de théories conspirationnistes, des climatosceptiques, et même des personnalités, qui affirment qu’une tentative de criminalisation des parents est à l’œuvre, orchestrée par des politiques qui auraient organisé les incendies.

Travelos, air chaud en été, vaccins sûrs et efficaces : le régime médiatique habituel pour le bétail goy dont il est interdit de se détourner.

Six associations islamiques, turques en majorité, ont publié une lettre ouverte critiquant ce qu’ils estiment être une entrave à la liberté des parents de « guider l’éducation des enfants conformément à leurs croyances ». Une autre lettre, comportant 8 000 signatures, a aussi été partagée sur Cathobel, le site de l’Eglise catholique. Elle évoquait le risque d’une « hypersexualisation » des plus jeunes et le fait que le guide Evras – il n’est pas destiné aux élèves mais aux intervenants, des professionnels formés, et aux enseignants – viserait, selon l’initiatrice du courrier, à répondre à des questions « que les enfants ne se posent pas ».

Face à la polémique, Caroline Désir a tenté de calmer le jeu en multipliant les interventions et en adressant à toutes les écoles une circulaire réexpliquant son projet pour lequel 150 experts ont œuvré à la confection du guide de 300 pages, sur la base de 400 entretiens avec des enfants de tous âges. « Ceux-ci sont souvent confrontés très tôt à des choses qu’ils ne comprennent pas et peuvent même être dangereuses, commente la ministre dans une allusion à la pornographie sur les smartphones ou aux photos de nus qui s’échangent entre adolescents. C’est pour cela qu’Evras est important, pour les protéger mais aussi pour apporter une réponse aux questions qu’ils se posent durant la puberté. »

« Etre animateur Evras, c’est apporter aux jeunes des informations éclairées mais aussi leur offrir un espace d’échange, de parole et de débat », expliquait pour sa part, dans le journal Le Soir, l’une des intervenantes concernées.

« Rassure-toi, goy, ça n’a rien à voir avec ce que disent les complotistes, c’est pour le bien de tes enfants ! »

Cette sale traînée devra retirer cette propagande haram des écoles belges ou bien le djihad tombera sur les agents des juifs qui cherchent à corrompre l’oumma.

Je suis très heureux de voir ce front anti-fiottes se former.

Je suis tout particulièrement heureux de voir des femmes musulmanes noires, intégralement voilées, exprimer leur très vive opposition en affichant un visage des plus réprobateurs à l’adresse des pédales et de leurs facilitateurs.

Ces longues barbes me plaisent tout autant.

Les musulmans ont beaucoup de défauts, mais leur caractère explosif rend tout de suite le débat beaucoup plus intéressant.

S’il n’y avait que des catholiques, le régime judéo-LGBT dormirait sur ses deux oreilles. Mais avec des musulmans, surtout en Belgique où chaque ville est virtuellement un bastion djihadiste, irriter la communauté des croyants en agressant sexuellement leurs enfants à l’école change complètement la donne.

Les musulmans ne théorisent pas longtemps, ils tuent, généralement au couteau.

Si les femmes blanches du gouvernement wallon ne veulent pas déclencher des violences généralisées contre les personnels scolaires, elles doivent la boucler et obéir en retirant ce programme inspiré par les démons juifs pour plonger l’humanité dans les ténèbres.

De toute façon, la moindre tentative de diffusion d’un tel contenu dans une école à très forte densité islamique se traduire par une fatwa contre le kouffar qui s’en rendra coupable.

Tout est une question de masse.

Entre quelques fiottes et des millions de musulmans émotionnellement très instables, qui ces femmes blanches vont-elles choisir ?

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